Aïgal

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Ensemble féminin a capella

Les Origines

Fondé en 2017 à Bordeaux, Aïgal réunit six chanteuses portées par l’envie d’explorer le répertoire a cappella et de créer des spectacles en collectif. Composé de deux sopranos et de quatre mezzo-sopranos, Aïgal met l’accent sur
des sonorités chaudes et profondes et fait entendre au public une diversité des voix féminines. L’axe de recherche de répertoire découle de cette subtile palette sonore, incluant autant les musiques traditionnelles que les musiques du XXIème siècle.
Aïgal met un point d’honneur à aller à la rencontre de tous les publics et à transmettre des sonorités lyriques en rendant ces répertoires accessibles. En 2019, Aïgal remporte le Prix d’honneur du jury du Concours Léopold Bellan, plus haute distinction dans la catégorie Ensembles Vocaux.

A l’heure actuelle, deux spectacles tout-public coexistent avec le but commun de créer des parenthèses musicales uniques où le chant rencontre la poésie et la narration, stimule l’imaginaire et amène à l’évasion : Les Présents du Soleil, conte musical lapon, et Trobaïritz, une immersion dans l’univers des troubadouresses et de la langue d’Oc, sur des poèmes de Brigita Miremont et où deux pièces ont été créées pour l’ensemble Aïgal par les compositeurs Felipe Carrasco Lutz et Anthony Mondon avec le soutien de la SACEM. Un arrangement du Regina Caeli de Lise Borel lui a été commandé pour six voix égales a capella.

Aïgal est lauréat du programme Génération Spedidam pour la période 2025/2027.

L'ensemble a choisi le nom d'un vent qui sillonne le sud-ouest de la France pour donner sens à sa musicalité.

Camille Souquère

Camille Souquère entre au Conservatoire de Bordeaux en 2014. De 2017 à 2019, la soprano poursuit sa formation au Centre de Musique Baroque de Versailles. La soprano est soliste pour la Messe en Ut de Mozart, la Passion selon Saint- Jean, le Magnificat de Bach, le Dixit Dominus de Haendel ou encore CarminaBurana. Elle collabore également avec l’ensemble Pygmalion.
En 2022, elle chante sous la direction de Constantin Rouits à l'Opéra de Massy, pour la création de l'opéra Râmâyana d'Olivier Calmel. Elle interprète le rôle de Belinda (Purcell), Amour dans Orphée et Eurydice de Glück. Elle chante le Stabat Mater de Pergolèse (dir. de Jérôme Correas).
En 2020 elle est soliste pour le Requiem de Mozart dirigé par Salvatore Caputo, à Bordeaux. Elle chante Belinda en Juillet 2019, lors du Festival Les Baroquiales. En Août 2018 elle a interprété le rôle de Bellezza dans Il trionfo del Tempo e del Disinganno, dir. Encina Oyon. En Avril 2018 elle jouait Pamina avec Les Chants de Garonne.
Pour la saison 24/25, Camille Souquère sera Annina dans La Traviata avec l'Opéra de Biarritz en Octobre, Novembre 2024 et printemps 2025. En Janvier 2025 elle sera soliste pour la Messe en Si de Bach à l'Auditorium de Bordeaux et retrouvera Carmina Burana au Pin Galant à Bordeaux en Mars, ainsi que les Vêpres Solennelles de Mozart en Juin 2025. Elle interprètera Pamina dans La Flûte enchantée pour le Labopéra Seine et Marne, mise en scène par Arnaud Guillou.
En Juillet 2025, elle interpètera plusieurs roles dans King Arthur de Purcell.
 

Astrid Fournier-Laroque

Elle débute la harpe à 6 ans, et le théâtre à 7. Une fois son master II de Management Interculturel en poche (ISIT, Paris), elle suit le cours de théâtre du Cours Sauvage à Paris et se forme au chant lyrique aux conservatoires du 9ème et du 13ème arrondissement de Paris, puis au CRR de Versailles (classe de Céline Laly) où elle obtient son DEM en 2022.
Elle chante et joue de la harpe dans le spectacle A round is a round, jeune public d'après Gertrude Stein, mise en scène Catherine Bayle. Elle interprète Pénélope dans une adaptation de l’opéra Il Ritorno d’Ulisse in Patria de Monteverdi, avec la Cie LaSiLab’. Elle est Mme de la Haltière dans l’opéra Cendrillon de Massenet, mis en scène par la Cie Les Mauvais Élèves.
Elle chante dans le spectacle Un autre jour viendra autour des écrits de Mahmoud Darwich, mise en scène David Ayala (Institut du Monde Arabe Paris, Théâtre Liberté Toulon, Théâtre National Nice, Théâtre du Gymnase Marseille, Théâtre des Quartiers d’Ivry...).
Elle met en scène À la croisée, de Penda Diouf, au Théâtre de la Colline à Paris, via le projet Convergence de l’association Belleville Citoyenne. Elle joue et chante dans la création très jeune public Le chant de l’arbre avec la Cie Acta, mise en scène Laurent Dupont, en France, aux Pays-Bas et en Belgique.
Elle est Bacchis dans La Belle Hélène d’Offenbach, mise en scène Flannan Obé, direction Frédéric Rouillon.
Elle co-crée et chante dans La chanteuse et le philosophe, spectacle forum traitant de l’égalité des sexes, d’après un texte du 17e siècle.
 

Anouk Defontenay

Anouk se forme au choeur d’adultes de la Maîtrise de Notre-Dame de Paris et au Pôle Lyrique d'Excellence Cécile de Boever.
En 2023, elle est lauréate de la première édition du Tremplin organisé par le Fonds Tutti à l'Amphithéâtre de l'Opéra Bastille ainsi que de la Fondation Royaumont, où l’on a pu l’entendre dans le rôle de la 3e Dame dans La
Flûte Enchantée de W.A. Mozart.
Elle collabore régulièrement avec l’Ensemble Pygmalion (dir. Raphaël Pichon), le Poème Harmonique (dir. Vincent Dumestre), Les Paladins (dir. Jérôme Correas), l'Ensemble Aïgal. Elle interprète sur scène différents rôles comme celui de l’Enfant (l’Enfant et les sortilèges, Ravel), Juditha (Juditha Triumphans, Vivaldi) la Nymphe et la Bergère (Armide, Lully), Mère Jeanne (Dialogues des Carmélites, Poulenc), mais aussi dans les solos du Requiem de Duruflé, de la Passion selon St-Jean de Bach, du Stabat Mater de Pergolèse ou du Salve Morale de Monteverdi, et plus récemment en quatuor dans la cantate BWV 48 de J.S. Bach au Théâtre des Champs-Elysées, dans la
partie d'alto dans la messe en si de J. S. Bach, celle du Gloria d’A. Vivaldi et du Stabat Mater d’A Dvorak lors de concerts parisiens.
Nous pourrons prochainement l’entendre chanter avec l’Opéra de Biarritz dans la 9e de Beethoven et à la Cathédrale Notre-Dame de Paris lors d’une série de concerts à 6 voix.
 

Danaé Monnié

Après obtention d’un DEM de chant lyrique au CRR de Bordeaux en 2015, elle intègre le Centre de Musique Baroque de Versailles où elle se perfectionne en musique ancienne avant de terminer sa formation au CRR de Paris en Cycle Concertiste Lyrique.
Elle travaille régulièrement avec des ensembles tels que Le Concert de la Loge, l’Ensemble Correspondances, Le Concert Spirituel, Le Concert d’Astrée, Les Talens Lyriques, Les Arts Florissants et l'ensemble Zene avec lequel elle enregistre des pièces du CD Hungarica en octobre 2021 en collaboration avec la fondation Royaumont.
En septembre 2018 elle a interprété le rôle titre de l’Oratorio Santa Editta de Stradella, avec l’Ensemble Il Groviglio, puis en octobre, elle incarne Enone, dans La Descente d’Orphée aux enfers de Charpentier sous la direction de Sébastien Daucé, puis le rôle d’une Bergère sensible dans Tarare de Salieri sous la direction de Christophe Rousset, enregistré la même année.
En juillet 2019, elle enregistre des airs de cour pour le Label Château de Versailles Spectacles, sous la direction de Thibaut Roussel et dernièrement pour ce même label, des pièces de Nivers sous la direction de Nicolas Bucher.
 

Astrid Dupuis

Après une expérience au sein de la London Philharmonic Choir et l’obtention d’un diplôme de chant lyrique au CRR de Bordeaux, Astrid se perfectionne à l'Opéra Studio Les Maîtres Sonneurs à Toulouse.
Elle participe à de nombreux stages de perfectionnement en opéra, mélodie et répertoire baroque, bénéficiant des coachings de professionnels internationaux puis obtient une bourse pour participer à la master-classe du ténor Ramòn Vargas au Luxembourg en novembre 2020.
Durant l'été 2021, elle interprète Suzuki dans Madama Butterfly de Puccini lors du Festival Più di Voce en Dordogne. En avril 2022 elle est Carmen dans l'opéra éponyme de Bizet avec le Labopéra Périgord-Dordogne. La même année, Astrid est lauréate du Programme Tremplin 2022 organisé par le Fonds Tutti, et se produit à l'Amphithéâtre de l'Opéra Bastille accompagnée par son mentor, le baryton Etienne Dupuis. Elle retrouve l'opéra Carmen de Bizet avec cette fois le rôle de Mercédès, en juin 2023 (LabOpéra de Bourgogne).
C'est avec le rôle de Chérubin dans les Noces de Figaro de Mozart qu'elle rejoint le Festival Più di Voce en Périgord en juillet 2023. Elle chante Métella dans La Vie Parisienne d’Offenbach au Festival Lyrique de Lamalou-Les-Bains en août 2024.
Elle collabore régulièrement en tant que choriste supplémentaire avec le Grand Théâtre de Genève, le Grand Théâtre de Bordeaux, L’Opéra National de Paris, le Choeur de Radio France, ainsi que Pygmalion.
Astrid Dupuis a reçu la Mention d'Honneur au Concours d'Honneur des Maîtres du Chant 2018 (Paris).
 

Elise Martineau

C’est au sein du Choeur de Jeunes du CRR de Tours qu’Elise découvre la technique vocale auprès de Yumiko Tanimura. Curieuse et voulant approfondir ses connaissances musicales, elle intègre par la suite le Choeur Mikrokosmos (dir. Loïc Pierre) pour six années. Elle obtient sont DEM dans la classe de Cécile Bonnet au CRD de Pantin (93). Aujourd’hui, Elise continue de travailler sa voix auprès de sa professeure Myriam de Aranjo. Son goût pour la scène et le collectif a poussé Elise à s’investir dans de nombreux ensembles et compagnies.
Ainsi, elle rejoint également l’équipe du spectacle Casse-toi Diva ! (dir. Maïlys Bjurström). Elise travaille également avec l’Ensemble Les Temps Dérobés (dir. Nele Erastus) et collabore avec les Métaboles (dir. Léo Warynski). En 2022, elle interprète le rôle de Mercédès dans Carmen de Bizet avec le LabOpéra Perigord-Dordogne (dir. Chloé Meyzie et mis en scène Gersende Michel). Cette même année, elle est soliste sur le Stabat Mater de Dvorak (dir. Clara Brenier) et le Stabat Mater de Pergolèse (dir Felipe Carrasco).
En 2023, Elise se produit dans la Petite Messe Solennelle de Rossini et collabore avec le Madrigal de Lille (dir. Madeleine Saur). Elle interprète le rôle de Giovanna dans Rigoletto de Verdi (dir. Romain Dumas) et plusieurs Requiem de Mozart (dir. Pierre Ledru et Laurent Delanoë). Début 2024, a créé l’Ensemble Hedera, aujourd’hui sous forme de quatuor avec le programme ambitieux de “Scènes de village”.
En parallèle de ce projet, elle réitère une collaboration avec Laurent Delanoë autour du Requiem de Karl Jenkins et à la chance de pouvoir chanter à la clôture des JO de Paris 2024 avec l’Académie Hendrix / Haendel dirigé par J-C Spinosi en Août.
 

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